Je suis assez amateur des films que j'ai pu voir de Wes Anderson, notamment The Royal Tanenbaums, Rushmore et The Life Aquatic. C'est donc avec un a-priori assez positif que je suis entré dans la salle pour The Djarjeeling Limited, d'autant que le casting promettait d'être la hauteur : Owen Wilson, Adrian Brody et Jason Schwarzman, plus des petits rôles de Nathalie Portman, la grande Anjelica Huston (déjà dans les bons coups sur les précédents films de Wes Anderson) et un caméo pour un scène de Bill Murray. Sur le plan du casting pur, le film ne m'a pas déçu. Il offre une galerie de personnages touchants et étranges comme seul Wes Anderson peut en proposer. On ajoutera à cela que le style du réalisateur, reconnaissable dès les premières scènes est encore bien présent. On se trouve bien, non seulement dans un train qui traverse l'inde, mais à bord d'un des films de Wes Anderson. On notera l'utilisation d'une bande son décalée, écho à celle de The Life Aquatic.
Mais, bizarrement, la mayonnaise n'a pas pris. Bizarre ! Alors que tous les ingrédients pour que ca me plaise étaient présents, j'ai eu du mal à rentrer dedans, la faute sans doute à un scénario un peu confus. Au final, je retiendrai de ce film quelques belles scènes burlesques et poétiques, le court métrage prélude au film, ainsi sans doute qu'une envie de le revoir dans quelques mois afin de voir si un second visionnage me fait plus accrocher. A approfondir, donc !
Mais, bizarrement, la mayonnaise n'a pas pris. Bizarre ! Alors que tous les ingrédients pour que ca me plaise étaient présents, j'ai eu du mal à rentrer dedans, la faute sans doute à un scénario un peu confus. Au final, je retiendrai de ce film quelques belles scènes burlesques et poétiques, le court métrage prélude au film, ainsi sans doute qu'une envie de le revoir dans quelques mois afin de voir si un second visionnage me fait plus accrocher. A approfondir, donc !
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